“La Fille qu’on appelle”, de Tanguy Viel, aux éditions de minuit
Un nouveau roman de Tanguy Viel, un récit virtuose, noir, social, psychologique, une fiction implacable sur le pouvoir, la domination, le consentement, un brillant bijou littéraire !
Un nouveau roman de Tanguy Viel, un récit virtuose, noir, social, psychologique, une fiction implacable sur le pouvoir, la domination, le consentement, un brillant bijou littéraire !
Un incroyable premier roman, encore, pour la rentrée littéraire qui en regorge. Une introspection, une quête du dedans de soi, une remémoration qui sonne comme une autobiographie fantasmatique et fantastique.
Un somptueux premier roman, dépaysant, aqueux, atypique et multi-original, instructif, étonnant, envoûtant et fascinant.
Un remarquable nouveau roman, l'histoire d'une femme qui trouve sa place dans le monde mais ne peut échapper à son passé, dans un récit qui témoigne d'une profonde empathie pour les personnages centraux et secondaires. Du pur James Sallis, dans ses grandes lignes, ses ellipses comme dans le moindre recoin.