« Ordure », d’Eugene Marten, préface de Brian Evenson, chez Quidam éditeur
Une histoire horrible et prenante qui se déroule aux États-Unis, mais pourrait se passer dans n'importe quelle mégalopole où les déchets et les rebuts s'amoncellent loin des regards. Un roman américain enfin traduit en français où les ordures sont littéraires, les phrases ciselées et les mots taillés mêle si sales, ne sont pas sans rappeler certains romans de Ballard ou Bret Easton Ellis, quand le réel est mis à nu sans sa perversité, comme dans les films de David Lynch ou Abel Ferrara.
