Sylvie Durastanti : « Pour ce qui est de cheminer, je me fie au conseil de Burroughs qui rappelait la leçon donnée par Coleridge dans Le Dit du Vieux Marin : celui qui parle (ou qui écrit) doit saisir la main de qui l’écoute (ou le lit) et ne plus la lâcher avant de l’avoir mené où il voulait le mener. »
Retrouvez l'interview qu'a accordée Sylvie Durastanti à Antoine à l'occasion de la parution de son premier roman, Sans plus attendre, aux éditions Tristram.
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Sylvie Durastanti : « Pour ce qui est de cheminer, je me fie au conseil de Burroughs qui rappelait la leçon donnée par Coleridge dans Le Dit du Vieux Marin : celui qui parle (ou qui écrit) doit saisir la main de qui l’écoute (ou le lit) et ne plus la lâcher avant de l’avoir mené où il voulait le mener. »