Certes, la pandémie est toujours là et ne s’arrêtera peut-être jamais (un certain pessimisme pourrait nous amener à penser qu’une fois cette dernière terminée, une autre se profilera…) mais pour autant, le MCU (Marvel Cinematographic Universe) démarre sa 4ème phase avec la sortie depuis vendredi 15/01 de la série WandaVision (uniquement disponible sur la plateforme Disney+).

Pour rappel, la phase 1 se terminait avec Avengers 1, la phase 2 avec Ant-man 1 et la phase 3 avec Spider-man Far From Home.

Entre temps, lors de Avengers Infinity War et Avengers End Game, Iron man est mort, La Veuve Noire est morte ainsi que la Vision et Captain America est retourné dans les années 40.

Ceci étant dit, cette série voit le retour de Vision mais, pour quiconque connait les comics, il est clair que tout cela est dû à Wanda, aka la Sorcière Rouge, personnage ultra puissant qui a, au cours de sa carrière papier, créé des enfants, éliminé tous les mutants de la Terre, tué une bonne partie des Avengers, j’en passe et des meilleurs. Mais oui, elle reste une super-héroïne (mais bien barrée, d’ailleurs, le début de cette phase 4 avec ce personnage est en accord avec l’arrivée prochaine de Moon Knight, sorte de Batman chez Marvel sauf qu’il est schizophrène, sert le dieu égyptien de la Lune et est condamné à ne jamais mourir (le personnage sera interprété par Oscar Isaac).

D’emblée, et même si Disney n’a diffusé que les deux premiers épisodes (les épisodes suivants seront diffusés au rythme d’un par semaine), cette série sort de ce que le MCU avait pu nous proposer par le passé.

En effet, les mystères planent toujours mais chaque épisode est clairement un hommage à l’histoire des séries télé.

Le premier épisode reprend tous les codes de la série des années 50 « I love Lucy ». Le second s’inspire de « Ma sorcière bien aimée ». Pour ce faire, la série est en noir et blanc, les acteurs jouent comme les acteurs de l’époque, la réalisation, la musique jusqu’aux rires, tout fonctionne !

Vous l’aurez compris, chaque épisode représente une décade télévisuelle à travers une série qui marqua son époque. Aussi, dans la suite logique, les prochains épisodes feront honneurs aux années 70, 80, 90, etc.

Jusqu’à la conclusion et donc la révélation (à laquelle je m’attends car fan des comics mais, chut, on ne dira rien 😉 ).

Cette série est donc très stimulante et bourrée d’easter eggs.

Pour autant, même le néophyte prendra du plaisir devant cette étrangeté télévisuelle.

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