J’y ai vu un signe.
Après plusieurs années en tant que batteuse au sein de groupes divers et plusieurs années de violentes désillusions, j’avais progressivement pris la décision que je continuerai mon chemin musical seule.
En parallèle de mes études aux Beaux-Arts, j’étais animatrice de colonie de vacances pour adultes en situation de handicap et ce résident avait inventé sans le savoir ce qui deviendrait mon nom de scène.
J’étais partie en séjour avec la problématique de nommer cette idée qui n’avait pas encore pris forme et m’étais promis que je reviendrai avec un nom. « Oceya » semblait être une évidence.
« Oceya ne sera pas moi mais un moyen de grandir, elle fera le lien entre différents médias et donnera du sens à tout ce que j’ai appris jusqu’ici. »
Je rêvais ainsi et un feu brûlait.